Désencombrement de début d’année : février & mars 2025

Désencombrement de début d’année : désencombrer une startup

Pour ce début d’année, j’ai décidé de regrouper mes désencombrements de février et mars. Les deux mois ont été plutôt calmes en termes d’objets à trier, ce qui est une bonne nouvelle : ça signifie que mon intérieur s’allège progressivement, et qu’il y a tout simplement moins à désencombrer. Et ça, on adore ! ☺️ Un désencombrement de début d’année est toujours une bonne idée. On a la motivation et l’envie de retrouver une maison plus apaisante pour le reste de l’année.

J’avais hâte de partager cette suite de mon désencombrement.

Désencombrement de début d’année : février

  • Balais et balayette cassés de l’ancien propriétaire (stockés au garage en attendant un passage à la déchèterie)
  • Rideau cassés de l’ancien propriétaire (idem)
  • Médicaments périmés
  • Crème solaire presque vide et ouverte depuis plus d’un an
  • Masque visage expiré
  • Eau micellaire inutilisée
  • Outils pour boutons
  • Tasse de ma grand-mère - donnée
  • Topper gâteau (utilisé en janvier puis abîmé)
  • Salière et poivrière (des objets esthétiques mais peu utiles pour nous. On ajoute les épices quand on cuisine, pas vraiment à table)
  • Des couverts en trop - donnés
  • Dessous de verres
  • Pics apéros en plastique
  • Deux jouets de chien non utilisés - donnés
  • Une salopette - donnée
  • Un chemisier porté 2 fois - donnés
  • Tapis de bureau usé (et pas remplacé ! Finalement, je préfère mon bureau sans tapis)
  • Élastique de sport - donné
  • Ceinture - donnée
  • Livre de recettes - donné
  • Des crochets pour étagères - donnés
  • 5000 photos iPhone triées (je suis passée de 10 000 à 5000 ! Je n’ai pas terminé, mais j’ai déjà bien avancé)

Ce désencombrement de début d’année m’a permis de libérer un peu d'espace, mais aussi de faire face à certaines difficultés émotionnelles. Dire adieu à des objets ayant une valeur sentimentale, comme la tasse de ma grand-mère (ou les photos), est un vrai exercice de détachement. Mais ça en vaut la peine. Je me sens un peu plus alignée avec mon présent, avec mes vrais besoins.

Désencombrement de début d’année : mars

En mars, j’ai continué mon désencombrement de début d’année, mais en m’attaquant à des catégories un peu différentes de d’habitude. J’ai notamment fait pas mal de tri dans le numérique — ce qu’on oublie souvent, alors que ça encombre énormément nos esprits et nos appareils. Et puis, j’ai aussi fait un désencombrement un peu plus original… une startup ! 🤭 Oui, oui. C’est peut-être surprenant, mais parfois, même des projets plus ambitieux méritent d’être désencombrés quand ils ne font plus sens pour nous.

Liste de désencombrement de mars :

  • 4 notes iPhone (inutiles ou obsolètes)
  • Startup avec ses documents, dossiers sur ordi, espaces  / tableau Trello, Notion, photos, produit physique, etc…
  • Plus de 800 photos/vidéos supprimées (j’ai continué sur ma lancée de février — ce n’est toujours pas terminé, mais j’avance petit à petit)
  • 2 applications mobiles - désinstallées
  • Compte Fiverr - fermé
  • Un site web - mis en pause, pour un futur projet
  • Couverture pour chien abîmée
  • Cerceau de sport (que j’avais acheté pour faire des exercices avec mon chien… sauf qu’on ne l’a jamais vraiment utilisé) - donné
  • Machine à coudre un peu abîmée - je ne m’en servais plus, donc je l’ai donnée. Elle pourra peut-être être réparée et resservir.
  • Un blazer trop grand - en vente
  • Un chemisier - donné
  • Médicaments périmés
  • Crème expirée
  • 3 jouets pour chien - donnés
  • Appareil photo Polaroïd - vendu sur Vinted
  • Accessoires Polaroïd (filtre, pochette) - vendus eux aussi
  • Coussin avec des graines à chauffer - donné
  • Stickers cœurs (achetés pour un projet non réalisé) - donné
  • Tissu en coton pour un projet couture - donné
  • Boîte transport gâteau - donné
  • Accessoire pour toaster
  • Hachoir manuel - donné
  • 6 plantes (5 étaient malheureusement malades et n’ont pas survécu ; la 6ème a été donnée via un groupe de dons local sur Facebook)
  • Une tasse en trop - donnée
  • 2 sous-tasses - en vente
  • 2 grands verres - donnés

Ce désencombrement de début d’année m’a permis de vider pas mal d’espaces dans la maison, mais aussi dans ma tête. Notamment en me séparant d’un projet pro qui occupait encore un coin de mon esprit, même s’il était déjà un peu mis de côté. Le fait de trier tout ce qui s’y rapportait m’a vraiment soulagée. 

Réfléxions

Le désencombrement numérique, une démarche essentielle

On parle beaucoup de désencombrement matériel, mais le désencombrement numérique est tout aussi important. J’ai continué à trier mes fichiers, mes notes, mes apps, mes photos, mes boîtes mails. Petit à petit. Parce qu’un désencombrement réussi est un désencombrement progressif.

J’ai trié mes newsletters : fini les e-mails quotidiens que je n’ouvrais jamais. J’ai supprimé les programmes et les comptes inutilisés. J’ai aussi nettoyé mon ordinateur : les doublons, fichiers images, captures d’écran... Ils prenaient une place mentale autant que digitale. Parce que bien ranger ses dossiers sur l’ordinateur, ça prend du temps aussi. Et si on a moins à gérer, on y passe moins de temps. Comme dans sa maison, tout simplement.

Une année plus légère : l’objectif de ce début 2025

Le début d’année est le moment parfait pour un bon désencombrement. On laisse derrière ce qui ne nous sert plus, ce qui nous encombre, pour avancer plus légèrement. Ne sous-estimez pas l’impact d’un bon désencombrement de début d’année sur votre bien-être. Il libère l’espace, améliore la concentration et réduit l’anxiété.

Réfléchir à ce qui nous convient vraiment

En février, ces objets très banals m'ont fait réfléchir : la salière et la poivrière. Ce sont des objets qu’on retrouve chez beaucoup de personnes, et aussi dans les restaurants, dans les catalogues de déco, chez nos parents, dans les boutiques… Et pourtant, chez nous, on ne les utilise jamais. On assaisonne nos plats pendant la cuisson, et on ne rajoute rien à table. Alors pourquoi les garder ? On les avait, comme beaucoup, parce que "ça se fait". Mais au fond, si ça ne correspond pas à notre manière de vivre, on peut aussi tout simplement s’en passer.

C’est ça aussi, le désencombrement de début d’année : se poser les bonnes questions. Est-ce que cet objet me sert ? Est-ce qu’il a un vrai rôle dans mon quotidien ? Est-ce que je le garde juste parce qu’il "faut" l’avoir, parce que c’est "normal" ? 🤔

Pour d’autres, ce ne sera peut-être pas la salière et la poivrière, mais les coussins de déco sur le lit. Ou la couverture qu’on met par-dessus pour "faire joli". Ou encore un dessous de plat.

Tiens, justement, le dessous de plat, parlons-en. J’en ai eu un, une fois, pendant mes études. C’était à l’époque où je suis allée chez Ikea avec mes parents pour acheter les premières choses pour mon studio d'étudiante. Et évidemment, j’ai pris un dessous de plat. Pourquoi ? Parce que chez mes parents, on posait les casseroles ou plats directement sur la table pour se servir. Ça paraissait logique.

Mais depuis que je vis seule (ou à deux), on fait différemment. On prépare les assiettes dans la cuisine, puis on les apporte à table. Si on veut se resservir, on retourne dans la cuisine. Et au final, c’est une habitude qui a plein d’avantages :
– la table est moins encombrée,
– on évite les brûlures,
– on ne va forcément se resservir,
– et… on n’a pas besoin de dessous de plat !

Quand j’ai vraiment même besoin de poser quelque chose de chaud sur la table, j’utilise un gant de four. Ce n’est pas très joli, c’est vrai. Mais honnêtement… on s’en fiche un peu. 😄 Ce qui compte, c’est que notre maison soit adaptée à nous, pas à une image ou une norme extérieure.

Qu’avez-vous décidé de laisser partir pour bien commencer votre année ? 💌

👉 Découvrir la catégorie [Journal] Objets désencombrés.

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